Le travail d’Yvan Alvarez débute souvent à partir de gestes et phénomènes liés à un état d’entre-deux et d’impermanence, qu’il tente de figer à travers la photographie, la sculpture ou encore l’installation.
C’est principalement dans la vie quotidienne qu’il s’intéresse aux interactions que nous avons avec notre environnement comme attendre, se déplacer, rafistoler, transformer ou encore détourner. Ces gestes, triviaux et anodins de prime abord, laissent paraître une certaine instabilité propre à notre monde contemporain, mais révèlent aussi notre humanité.
Ce sont des formes éphémères et provisoires trouvées dans l’espace public qui ont donné lieu aux travaux présentés à Spielact.